UN AUTRE POINT DE VUE SUR

Le SIDA

C'est en 1981 que la médecine a été confrontée aux premiers cas de cette terrible maladie puis le grand public en a été informé. Depuis nous assistons impuissants à une véritable prolifération de ce fléau. Certains sont angoissés à la pensée de pouvoir contracter le virus, d'autres réagissent pour lutter contre, tandis que d'autres encore le prennent à la légère. Actuellement, de très nombreuses personnes sont encore mal informées à ce sujet.

Il semble, d'après les statistiques, que le nombre de personnes contaminées ne cesse d'augmenter (il doublerait tous les onze mois) et, de tous les pays d'Europe, c'est en France que la proportion de malades est la plus élevée. La science ne nous donne pas beaucoup d'espoir quant à la découverte d'un traitement ou d'un vaccin contre cette maladie qui s'attaque directement à notre système de défense et aboutit inévitablement à la mort.

Les recherches qui ont été faites sur les origines du SIDA nous laissent supposer que ce virus viendrait d'une tribu africaine qui aurait contracté cette maladie suite à des rapports sexuels avec des singes. Le virus ainsi transmis à l'homme a ensuite été propagé par le biais de contacts sexuels et du contact sanguin. Mais ce n'est qu'une hypothèse.

Il y a quelques années, les groupes "à risques" étaient surtout les homosexuels suivis des toxicomanes utilisant la seringue, puis des transfusés, le sang n'étant systématiquement contrôlé que depuis 1985.

Actuellement, cette progression semble stabilisée chez les homosexuels, mais se poursuit chez les toxicomanes et, ce qui est nouveau, elle se développe chez Ies hétérosexuels, groupe qui n'était pas "à risques".

Aujourd'hui donc, n'importe qui peut-être contaminé, par une goutte de sang, par des rapports sexuels avec une personne inconsciemment porteuse du virus ou en naissant d'une mère atteinte du SIDA, les enfants ne vivent alors guère plus de 5 ans.

Certains pays ont réagi en organisant la recherche scientifique et en informant la population. Mais, comme la découverte à brève échéance d'un remède est peu probable, on s'est contenté de mettre les seringues en vente libre et de conseiller l'utilisation du préservatif pour limiter la propagation. Les préservatifs sont disponibles en tout lieu, distribués aux adolescentes dans les lycées, au planning familial. Ainsi, pour lutter contre le SIDA, on ferme les yeux sur des problèmes aujourd'hui tolérés par la société (débauche sexuelle et drogue) mais dont les conséquences morales sont tout aussi destructrices.

De plus, certains de ceux qui se savent séro-positif transmettent le virus, selon l'adage vieux de 2500 ans : "Mangeons et buvons, car demain nous mourrons ! ".

Le paradoxe est que d'une part on lutte contre le fléau et que d'autre part on banalise, et du même coup favorise, les rapports entre adolescents, l'adultère, l'inceste, l'homosexualité et parfois même le viol en mettant à la portée de tous revues, livres et chansons et autres films, programmes télévisés et publicité. La pornographie agit en fait comme un véritable poison et ceux qui s'y adonnent s'autodétruisent, souillent leur famille et leur entourage.

Pourtant, l'union sexuelle est belle, bonne et pure dans la mesure où elle est pratiquée dans le contexte donné par son Créateur, c'est-à-dire au sein d'un couple formé d'un homme et d'une femme unis pour la vie. "L'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair" (Livre de la Genèse, chapitre 2, verset 24).

Jésus a prédit qu'il y aurait des pestes (*) et il se pourrait bien qu'il fasse, entre autres, allusion au SIDA (Livre de Luc, chapitre 21, verset 11).

(*) Note : le mot grec loimos traduit par pestes en français englobe toutes les maladies infectieuses mortelles.

Le SIDA est l'une des multiples conséquences de la révolte de l'humanité contre son Créateur et nous ferions bien de mettre notre vie en règle avec lui en prenant au sérieux cet avertissement :

"Je suis vivant ! dit le Seigneur, l'Eternel, ce que je désire, ce n'est pas que le méchant meure, c'est qu'il change de conduite et qu'il vive". (Livre d'Ezéchiel, chapitre 33, verset 11).

Ceux qui rejettent ce conseil se placent eux-mêmes sous ce que Jésus appelle le châtiment éternel (Livre de Matthieu, chapitre 25, verset 46).

Cher lecteur, qui que vous soyez, et quelle que soit votre situation, nous vous invitons à vous approcher du Seigneur Jésus-Christ en lui demandant pardon pour vos fautes - Il les a prises sur lui en mourant sur le bois - à lui faire une entière confiance en remettant votre vie entre ses mains. Il est ressuscité, il vit aujourd'hui, il vous connaît, vous comprend, vous aime et vous accepte tel que vous êtes. Vous aussi, acceptez-le.

Non seulement il veut vous pardonner, mais il veut vous donner un cadeau merveilleux, gratuit, la Vie éternelle. Vous pouvez prendre connaissance de toutes ces choses en lisant le Nouveau Testament (la deuxième partie de la Bible).

Nous sommes à votre disposition pour vous aider ou pour répondre à vos questions à ce sujet à cet adresse électronique : bn48@chez.com

ou bien à l'adresse postale suivante :

Assemblée Evangélique "La Bonne Nouvelle" - 5, rue Charles MOREL - 48000 MENDE 



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